Menu Ntaba
18.00CHF – 19.00CHFAvec un accompagnement à choix :
- Banane plantain
- Chikwangue (pâte de manioc)
- Loso (riz blanc)
- Frite de Manioc
Sous-total: 5.90CHF
Avec un accompagnement à choix :
Menu Ntaba est un plat à base de morceaux de chèvre*, pouvant être accompagné de Loso (riz blanc), de Banane plantain ou de Frites de manioc, Chikwangue (pâte de manioc)
Le plat est servi avec :
Avec un accompagnent à choix :
Menu Tshebhi Dorho est un plat traditionnel Habesha. Il est accompagné d’une pièce de poulet mariné dans une sauce au paprika, agrémenté de diverses épices venant directement de la corne d’Afrique. Les sauces sont servies avec un accompagnement de légumes et de Injera (galettes)
Menu Shiro est un plat végétarien préparé à base de purée de pois chiche, assaisonné d’ail, d’oignons et de diverses épices typiques venant d’Érythrée ou d’Éthiopie. Les sauces sont servies avec un accompagnement de divers légumes et de Injera (galettes)
Mikaté (beignets congolais)
Soso (pièce de poulet) 6 pièces
6 Bâtons de Banane plantain
Jus de Bissap, fait maison
L’Injera est une sorte de grande crêpe, caractéristique de la cuisine éthiopienne et érythréenne. C’est une galette que l’on recouvre d’une variété de sauces et qui, dans son ensemble, représente le plat principal de ces deux pays.
La galette se fait principalement sur la base d’un mélange entre la graine de teff et de l’eau. Elle demande à être cultivée dans des régions d’une altitude importante avec une température à pluviométrie suffisante. Ainsi, pour des raisons d’inaccessibilité économiques comme géographiques, elle peut être remplacée par d’autres graines et céréales telles que la farine de blé, le maïs ou l’orge. On laisse par la suite reposer ce mélange fermenté pendant une période d’environ deux à trois jours jusqu’à ce qu’il obtienne un goût légèrement acide.
Afin de déguster le plat, il faut dans un premier temps couper un petit bout de la galette d’injera (traditionnellement avec la main droite) et s’en servir pour saisir les sauces. Lorsque la totalité des sauces sont terminées, le reste de l’injera, qui a absorbé le jus de ces dernières, se mange à son tour. La galette d’injera est donc à la fois un aliment, un ustensile de cuisine et une assiette. Lorsque toute la nappe d’injera est consommée, le repas est alors conclu.
Le Bissap est une boisson africaine, bue fraîche et sucrée, préparée à partir de l’hibiscus sabdariffa, appelé Roselle ou Oseille de Guinée.
L’hibiscus sabdariffa est une plante herbacée arbustive qui peut atteindre 3 m de haut dans les meilleures conditions, mais ne dépasse généralement pas 2 m. Elle pousse bien en zone tropicale en Afrique de l’Ouest (Sénégal, Burkina Faso, Bénin, Togo, Niger, sud du Mali, nord de la Côte d’Ivoire), au Botswana, et au Congo. Ses fleurs sont d’un diamètre pouvant atteindre 8 cm. Chaque fleur s’ouvre en corolle composée de 5 pétales. Cette fleur est pourpre en son cœur et ses pétales présentent un dégradé allant du jaune au rose. Lorsque la fleur tombe, elle dévoilé un gros calice rouge pourpre qui est la partie de la plante utilisée pour fabriquer le Bissap.
Riche en acide ascorbique (d’où son goût acidulé), le Bissap est aussi très prisé pour ses vertus médicinales (diurétiques, sédatives et hypotensives, voire laxatives). En Afrique et au Proche-Orient, il se boit chaud, tandis qu’on préfère le boire froid en Europe. On y ajoute parfois des feuilles de menthe.
Le Chikwangue (kwánga en lingala) – également appelée « bâton de manioc » et parfois bâton-haricot – est un mets traditionnel du bassin du fleuve Congo, consommé en République démocratique du Congo. Comme le foufou, c’est un produit dérivé de la pâte de manioc.
La préparation de ce plat est assez longue. Dans le sud du Congo, elle nécessite une ou deux semaines. Il faut d’abord laisser tremper les tubercules, les émietter à la main dans l’eau, tamiser et retirer les fibres à l’aide d’un couteau. Puis on laisse égoutter la pâte obtenue pendant deux jours dans un sac. Elle est ensuite travaillée à la main sur une planche en bois avec un rouleau, puis cuite à la vapeur. On lui donne alors la forme de boudins (bâtons) qu’on enveloppe dans des feuilles. Il peut s’agir de feuilles de bananier, mais, dans la mesure du possible, celles de Megaphrynium macrostachyum (ngungu, mikungu) sont privilégiées, car elles donneraient une saveur particulière à la préparation. Il faut au moins deux feuilles pour envelopper un bâton. Ensuite, on fait à nouveau cuire à l’étouffée le tout. Le produit obtenu est de consistance élastique et est très nourrissant.
Les plats sont cuisinés par d’authentiques «Cheffe africaines » qui son tous simplement nos mères. Des mamans qui viennent d’Afrique de l’Est, l’Erythrée et d’Afrique Centrale, le Congo RDC dont la maestria n’est plus à démontrer. Le choix des cuisinières s’est naturellement porté sur nos mamans, car nous tenions à proposer une cuisine le plus authentique possible. En effet, ayant grandi et vécu au pays, elles sont davantage imprégnées de la culture culinaire de leur pays respectifs, de plus ayant elles-mêmes appris aux côtés de leurs mamans, elles détiennent « le fameux secret » qui rend leurs recettes uniques et exceptionnelles.
Vendredi à Dimanche
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